Le Repas

Catégories : Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 3 ans
Dans cette histoire érotique BDSM entre femmes, vous constaterez que les lesbiennes peuvent être très perverses quand elle dominent.

Je m’habille avec beaucoup de soin pour le "premier rendez-vous » avec cette nouvelle femme. J’aime toujours beaucoup la nouveauté d’une relation, les premières fois en toutes choses. Aussi, je me douche soigneusement et je mets de l’eau de toilette partout, en ajoutant une goutte de parfum aux bons endroits. Je me maquille avec soin, je me coiffe, puis je vais à ma chambre, nue et sans chaussures. Là, sur le lit, étalés avec précautions, se trouvent le corset et la culotte, la robe longue sombre qui se boutonne du cou jusqu’aux pieds. Je mets le corset et la culotte et me place devant la glace pour en admirer l’effet. Je pince mes tétons et les fais rouler, je les vois qui durcissent rapidement et j’apprécie l’effet qu’ils produisent à travers la dentelle. Je me retourne et prends la robe, je glisse mes bras dans les manches et la boutonne du cou jusqu’au milieu des cuisses, en laissant le reste ouvert. Je descends l’escalier, j’enfile mes bottes qui montent aux genoux, et je les lace bien serrées. Je me relève et me regarde dans le miroir, en souriant à ce que je vois. Oui, je pense que cela devrait bien se passer.

J’arrive au restaurant assez tard, le trajet a été horrible, et impossible de trouver une place pour se garer à proximité. Je la vois presque immédiatement, assise seule, en train de siroter une boisson en regardant la porte. Je m’approche d’elle et souris en disant :

« Vous êtes bien Suzanne ? »

Elle sourit, acquiesce, et je m’assois. Je présente mes excuses pour mon retard, elle sourit et me répond :

« Et encore, je ne vous avais pas dit à quel point je déteste qu’on me fasse attendre ! »

Je rougis légèrement et lui parle du trafic et de la difficulté à trouver une place. Elle hausse les épaules et dit :

« Je pensais que vous auriez pris ça en compte. »

Je sens mon pouls qui s’accélère en entendant son ton. J’attr a p e le menu et me dépêche de le parcourir, pour masquer ma gêne. Lorsque je le pose, je découvre qu’elle est en train de m’étudier de près ce qui, je dois l’admettre, me fait me tortiller. Puis elle sourit et la glace se rompt (du moins je le pense), et nous nous mettons à bavarder sur des sujets d’intérêt commun. Le repas arrive et nous nous asseyons confortablement pour discuter en mangeant. A la fin, je me lève en disant que je ne serai pas longue et je me dirige vers les toilettes des dames.

Lorsque je sors pour me laver les mains, je suis étonnée de la voir là, dos aux lavabos, en train de m’attendre. Je souris et me place à côté d’elle pour me laver les mains. Je regarde dans la glace et la vois qui se positionne derrière moi. Je sens mon cœur qui accélère et je me demande ce qu’elle fait. Puis, avant que je puisse dire un mot, je sens sa main sur mon dos, qui me pousse sur le meuble et, de l’autre main, je sens qu’elle soulève ma robe et expose mon postérieur. Tout un tas de pensées affluent dans mon esprit, la plus fascinante étant : "Et si quelqu’un entre !?"

J’essaie de me dégager mais elle se contente d’appuyer plus fort sur mon dos. J’essaie de parler mais elle approche sa bouche de mon oreille et murmure :

« Je suis assez fâchée que vous ayez été en retard ! S’il vous plaît, n’en rajoutez pas en parlant ! »

Puis, avant que mon cerveau ait eu le temps d’enregistrer complètement ses propos, je sens une claque brûlante s’abattre sur mon cul. Je pousse un cri perçant et une autre me tombe rapidement dessus, accompagnée de son avertissement de ne RIEN dire ! Je me mords la lèvre et sens les fessées brûlantes qui s’abattent l’une après l’autre. Bientôt, je me tortille, j’essaie de me mettre hors de portée, j’essaie de la supplier d’arrêter, mais sans résultat. Au bout de ce qui semble une éternité, ma robe est remise en place et la main se retire de mon dos. Je reste courbée sur les lavabos en gémissant doucement, le derrière en feu avec, également, le con brûlant.

Je finis par me redresser et je m’aperçois en regardant dans la glace que je suis seule à nouveau. Je rajuste ma robe et retourne dans la salle du restaurant en n’étant pas sûre du tout qu’elle sera encore là. Elle est en train de payer l’addition et, quand je m’approche, elle me sourit et me prend par le bras en disant :

« Nous partons ? »

Le souffle coupé, je la suis comme un agneau qui va à l’abattoir. Elle me conduit à sa voiture, ouvre la porte et me dit d’y monter. Je commence à protester, à parler de ma voiture, elle me dit simplement :

« Vous avez l’air d’avoir du mal à aller d’un point A à un point B dans VOTRE voiture, aussi allons-nous prendre la mienne. Mais n’ayez pas peur, lorsque notre journée sera terminée, je vous ramènerai à votre voiture en toute sécurité. »

Docilement, je monte dans sa voiture et j’attache ma ceinture.

Chapitre 2

Lorsque nous arrivons à sa maison, je la suis dans l’escalier puis à l’intérieur. Je dois reconnaître que j’ai l’estomac serré de trouille, mais je suis portée par une curiosité que je ne m’explique pas. Elle me fait entrer dans le salon et me dit de faire comme chez moi avant de disparaître dans une autre pièce. J’examine la pièce, j’admire son goût pour les tableaux et les sculptures. Elle réapparaît aussi soudainement qu’elle avait disparu et se moque de moi et, me demandant pourquoi je n’ai pas pris de siège, elle fait allusion au fait que ça me brûle sans doute encore un peu trop pour que je m’asseye. Je sens le rouge envahir mon visage au souvenir de cette fessée dans des toilettes publiques.

Elle s’approche de moi, prend mon visage entre ses mains et m’embrasse, fort et avec passion. Je ne peux reprendre mon souffle, cette femme ne pratique pas la subtilité, c’est certain ! Pendant qu’elle m’embrasse, je sens ses mains venir sur le devant de ma robe et se mettre à la déboutonner. J’esquisse un mouvement de recul, elle remonte alors ses mains, se saisit de mes mamelons et les tient serrés en disant :

« Bouge si tu veux, mais souffres-en les conséquences ! »

Je retiens ma respiration, la douleur est exquise et juste un peu effrayante. Elle continue à déboutonner ma robe et, arrivée à la taille, elle abandonne et se contente de la pousser derrière mes épaules. Je me tiens là, dans mon caraco, avec les tétons qui poussent fort contre la dentelle. Je la regarde qui porte la bouche vers le premier, puis le second, pour les mordiller à petits coups rapides. Je gémis doucement. Elle recule un peu et m’examine de haut en bas. À nouveau, je sens le rouge m’envahir le visage. Je me sens mal à l’aise et très mal assurée. Elle passe derrière moi, tire brutalement sur la robe et la laisse tomber au sol. Puis je sens ses mains qui passent sur mon dos et sur mon cul encore chaud. Je l’entends glousser doucement en me pinçant fort les fesses, et je sursaute. Elle me dit à voix basse :

« Ma chère, tu es vraiment délicieuse ! Je pense que je vais avoir plaisir à te surprendre. A présent, tu vas te tenir parfaitement immobile, tu ne diras PAS un mot et tu ne bougeras PAS ! »

Je retiens ma respiration. Ses mains semblent être partout, en train de tirer mes tétons et de les pincer FORT ! Puis sur mon mont de Vénus où elle enfonce ses ongles, à travers la soie douce de ma culotte. Ensuite, elle repousse la soie dans mon con et passe ses doigts alentour en taquinant mon trou du cul. Bientôt, je ressens que je n’ai plus le contrôle de mon corps, de ses besoins ni de ses désirs. Je voudrais seulement que cette exploration prenne fin, je veux qu’elle me prenne et mette un terme à cette lente t o r t u re. Mes jambes tremblent et je trouve de plus en plus difficile de rester debout.

Chapitre 3

Enfin, elle se redresse et me dit de la suivre. Je la suis docilement, elle ouvre une porte vers le sous-sol et se met à descendre. J’hésite un instant. Je m’attendais vraiment à être emmenée dans une chambre, mais au point où j’en suis, je la suivrais n’importe où, j’ai besoin d’elle et je la veux si fort ! Lorsque nous arrivons en bas de l’escalier, elle tourne à gauche, ouvre une porte et recule en me faisant signe d’entrer la première dans la pièce. Je trébuche sur une petite marche à l’entrée. La pièce est dans le noir complet et je m’arrête sur le seuil. Je sens sa main sur mes fesses, qui me pousse plus loin dans l’obscurité, puis je m’arrête. Elle se déplace autour de moi et allume quelques bougies qui n’éclairent pas suffisamment pour que je puisse voir grand-chose, à part des formes vagues.

Elle vient jusqu’à moi, fait passer le caraco par-dessus ma tête et le laisse tomber par terre. Puis elle tire un premier téton et lui pose une sorte de pince, ensuite, elle fait pareil au second. Je sens, plus que je ne vois, une lourde chaîne pendre entre mes seins. Elle glousse à nouveau et dit :

« Maintenant, tu vas être beaucoup plus facile à diriger ! »

En guise de démonstration, elle saisit la chaîne et lui donne une traction brutale. J’avance rapidement ! Nous approchons d’une desserte. Elle m’enjoint de m’allonger dessus. Je me sens gênée de le faire et elle me donne une grande claque sur les fesses pour que je me mette plus haut sur la table. Je m’avance jusqu’à ce que mes seins pendent au-dessus du bord, avec la chaîne qui tire les mamelons vers le bas. Puis elle me dit de ramener mes mains pour saisir mes jambes. Alors que je m’exécute, je la sens qui passe un genre d’entrave à mes poignets. Je sens la chaleur qui monte en moi. Je suis effrayée mais en même temps, excitée. Elle passe derrière moi et me dit de soulever mon derrière. Je le fais et elle retire ma culotte.

A présent, je suis complètement nue et exposée. Je la sens qui prend mes chevilles et les attache aux pieds de la table. Je suis vulnérable et je le sens bien ! Puis elle va allumer des lanternes et des lampes à huile disposées judicieusement dans la pièce. J’essaie de lever la tête pour voir mais je trouve cela très difficile. Elle revient, s’agenouille devant moi et, donnant un coup sur la chaîne, elle sourit et murmure :

« Alors, ma chatte, es-tu prête à t’amuser à présent ? »

Puis elle tourne lentement autour de mon corps qu’elle pince… tire… taquine. Lorsqu’elle arrive au pied de la table, je m’aperçois que mes jambes se mettent à trembler. Ses mains courent sur mon cul et écartent mes fesses, ses doigts s’enfoncent dans mon sexe, remontent pour tirer mon clitoris et le pincer durement ! Elle va jusque dans un coin de la pièce et ouvre un placard. Elle revient et pose un martinet sur une table basse qui est devant moi. Elle retourne au placard et revient cette fois avec de nombreux « jouets » qu’elle place aussi sur la table. Ainsi, je suis obligée de les voir, et de m’interroger sur leur usage !

Une dernière fois, elle retourne au placard et reste devant pendant un long moment, me tournant le dos. Elle se retourne et revient vers moi, en veillant à ce que je vois ce qu’elle fait ! Elle ajuste des gants de chirurgien et semble porter une bouteille. Je sens mon estomac se contracter et mon cœur accélérer. Puis je sens un liquide froid sur mon cul, je sens ses mains qui l’écartent et se mettent à frotter mon trou du cul et mon con, jusqu’à ce que je perçoive une sensation de froid et de mouillé. J’agite mon cul du mieux que je peux et elle me le claque fort en me rappelant que je ne dois RIEN faire ni RIEN dire. Puis elle va à la petite table, y prend un petit truc en forme d’œuf et verse dessus du liquide de la bouteille. Elle vient derrière moi, je sens ses mains qui écartent mes fesses, puis le contact froid de cet œuf appuyé contre mon trou du cul. Je retiens ma respiration et je serre instinctivement les fesses ! Elle me frappe fort en disant d’une voix sévère :

« Ceci va y entrer, avec ou sans ta coopération ! Ça fera nettement moins mal si tu détends tes muscles. »

J’essaie autant que je peux, mais j’ai peur et je n’y parviens guère. Je la sens qui appuie plus fort, et je me sens m’ouvrir douloureusement ! Puis, avec une sensation d’éclatement, je le sens qui glisse en moi. Je sens qu’elle utilise son doigt pour le pousser plus loin à l’intérieur. Je gémis doucement.

Puis elle prend une petite boîte sur la table, j’entends un petit bourdonnement et, presque instantanément, je ressens des vibrations dans les profondeurs de mon cul. Je me soulève presque au-dessus de la table… et s’il n’y avait les entraves qui me retiennent, j’y parviendrais ! Je balance la tête d’un côté à l’autre en gémissant.

Elle me sourit et s’empare d’un autre instrument. J’ai déjà vu ça chez le médecin, aussi je gémis et j’essaie de me tortiller pour m’éloigner tandis que je sens les lèvres de mon sexe qui s’écartent, le métal froid qui s’enfonce, qui s’insère profondément en moi. Puis je sens qu’elle l’ouvre lentement, je me sens de plus écartée et largement ouverte, jusqu’à ce que je sois sûre d’être à la limite de la déchirure ! Elle me dit :

« Maintenant, tu es complètement exposée, n’est-ce pas ? Qu’est-ce que je vais pouvoir faire avec ton con !? »

Elle saisit le martinet et recule. Avant que j’aie le temps d’inspirer, se sens le martinet qui s’abat avec f o r c e sur mon cul et je hurle ! A plusieurs reprises, elle abat le martinet sur mon cul, sur mes cuisses, sur mes hanches. Elle s’interrompt de temps à autre pour insérer un doigt dans mon sexe béant… Elle rit et commente :

« Ahhhh, mon toutou… Tu as l’air d’apprécier ce "divertissement", et je suis m o r t ifiée d’être dégoulinante… Mes jus coulent librement sur mes jambes. »

Elle se remet à manier le martinet jusqu’à ce que je sois certaine de ne plus pouvoir en supporter plus ; je m’entends la supplier d’arrêter, de me baiser, de faire n’importe quoi sauf de continuer cette t o r t u r e.

Enfin elle s’arrête, pose le martinet sur mon dos et retire l’instrument de mon vagin. Elle avance et prend un autre vibrateur. Il est énorme, mes yeux s’écarquillent. Je la supplie de m’épargner, par pitié. Elle fronce les sourcils et me dit:

« Tu es plutôt un vilain toutou, hein ? Je t’ai dit de NE PAS parler et pourtant, tu continues ! »

Elle met sa main sous mon menton, soulève ma tête jusqu’à ce qu’elle soit douloureusement relevée, puis ses doigts serrent mes joues jusqu’à ce que j’ouvre la bouche où elle glisse ce vibrateur. Elle le tient en place et me regarde dans les yeux :

« Dis-moi, ma chatte, vas-tu apprendre à rester tranquille ou faut-il que je laisse cela ici ? »

Mes yeux montrent ma peur car je sens qu’elle continue de le pousser dans ma bouche, vers le fond de ma gorge. Rapidement, je hoche la tête pour l’assurer que je serai tranquille. Je plaide avec mes yeux. Elle rit, retire le vibrateur et va se mettre à nouveau derrière moi. Je sens la tête froide et dure de l’appareil qui appuie contre mon sexe. Lentement, elle le met en route et je sens les vibrations qui s’harmonisent pour discuter avec celles qui proviennent du fond de mon cul. C’est tout juste si je peux me contrôler. Elle se met à l’enfoncer lentement dans mon con. Les vibrations augmentent et je parviens à me concentrer uniquement sur mon con et mon cul. Il n’y a plus ni pièce, ni table, ni entraves qui coupent mes membres. Seulement cet ensemble con et cul qui vibrent et pulsent.

Elle le fait entrer et sortir, à chaque fois, elle l’enfonce plus profondément, et je sens que je m’ouvre de plus en plus pour l’accepter. Je saisis les pieds de la table et me sens me soulever pour accueillir chaque poussée de cette queue vibrante en gémissant plus fort ; je sens ses mains au niveau de mon trou du cul et tandis que mon orgasme monte vers un sommet, je la sens qui tire un grand coup et fait sauter l’œuf hors de mon cul, alors que la queue vibrante est enfoncée durement plus profond en moi. Je crie alors que chaque vague me balaie le corps !

Chapitre 4

Je n’ai pas le temps de récupérer. Je sens ses mains qui retirent les entraves de mes bras et de mes jambes et, avant que je puisse bouger, elle saisit une poignée de mes cheveux et me tire de la table pour me mettre à genoux devant elle. Elle ouvre les jambes et me dit que j’ai été une petite salope gourmande et qu’elle m’a ménagée, mais que je dois maintenant lui rendre sa faveur. Elle me chauffe en m’enjoignant de faire du bon travail, sinon… !

Je lève lentement les mains et je l’ouvre timidement pour ma langue. Pendant que je fais cela, je reçois un coup brûlant du martinet sur le dos ; elle m’ordonne de lui lécher le clitoris avec ma langue et de laisser mes mains sur mes cuisses. Je remets rapidement mes mains sur mes cuisses et avec ma seule langue, je me mets à lui lécher le clitoris que j’aspire ensuite dans ma bouche en le faisant rouler pour l’exciter doucement. Je le fais entrer et sortir de ma bouche en tirant dessus un peu pus fort à chaque fois.

Je sens sa main qui s’entoure de mes cheveux, les tire, attire ma tête plus près d’elle. Je passe ma langue le long de sa fente, je la glisse à l’intérieur (par chance, je suis dotée d’une longue et large langue), et la pousse profondément en elle. Je sens ses muscles se resserrer autour de ma langue et je commence à la faire entrer et sortir, de plus en plus vite à chaque poussée. Je sens sa main qui me tire les cheveux, me rapproche d’elle, je sens ses hanches qui poussent et mon visage est presque avalé par elle. Lorsqu’elle jouit, elle donne une gigantesque traction sur ma chevelure pour tirer encore plus mon visage en elle et, quand ses sécrétions jaillissent, j’en lape chaque goutte en gémissant doucement.

Chapitre 5

Elle s’écarte de moi, me laissant à genoux, tout mon corps est frémissant. Elle prend mon caraco et revient vers moi en souriant. Elle me dit de lever les bras au-dessus de ma tête et elle y passe le vêtement en laissant en place les bijoux des tétons. Elle se penche et me murmure à l’oreille :

« Je garde ton adorable culotte ne soie, mon toutou. Et en échange, tu peux garder les bijoux de tétons ! La prochaine fois, tu viendras avec, sans culotte, et avec ce caraco. Tu comprends ? »

Tout ce que je peux faire est d’acquiescer en hochant la tête. Ce fut un remarquable repas sur rendez-vous, et je me demande si je ne serai pas exprès en retard la fois suivante…

Par morningstar (Warren) Traduit par Rose Mimbo

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Merci pour cette belle histoire.
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